Petit manuel de collapsologie à l’usage des générations présentes.
La question de l’effondrement est une question extrêmement difficile à aborder. Mais qu’est-ce que l’effondrement ? Qui est concerné ? Quelles sociétés ? La nôtre ? La société industrielle ? Culturelle ? Dans quelle mesure, et surtout quand ?
Pourrons-nous réagir, s’adapter ? Survivre ? Devrons-nous devenir des Mad Max en chair et en os ? Quelles seraient aujourd’hui les conséquences d’un effondrement ?
Pour l’instant « Évoquer un effondrement en public équivaut à annoncer l’apocalypse, donc à se voir envoyer à la case bien délimitée des ‘croyants’ et des ‘irrationnels’ qui ont ‘existé de tous temps’ ».
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Ou La circulation alternée suffira-t-elle à nous sauver de l’industrialisation galopante et des 4x4 diesel qui nous inondent quotidiennement de leurs vapeurs toxiques, irritantes, étouffantes, nauséabondes et désagréables ?
J’aurais tout aussi pu appeler l’article « Épisode chronique de pollution à Paris », car, à Paris, l’air n’est par pur ; il pue.
Mais aujourd’hui 7 décembre 2016, le fond de l’air n’était particulièrement
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La question paraît triviale, mais ne l’est pas tant que ça. Car ce geste, jeter le rouleau de papier toilette dans la cuvette au lieu de le jeter dans la poubelle de tri, est révélateur de la manière de considérer l’écologie dans notre pays...
Tout a commencé par une dispute – au sens de discussion – avec l’animateur d’une activité "Recyclage" au sujet de ces nouveaux rouleaux de papier toilette « qu’on peut jeter dans la cuvette des
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Héros pour les uns, criminel pour les autres, Paul Watson ne laisse personne indifférent et est plutôt du type à s’en réjouir.
De fait, le fondateur de la Sea-Shepherd Conservation Society aime la controverse tant qu’elle offre une couverture médiatique à ses activités. Souvent aux frontières de la légalité et en marge du
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Des expositions universelles, le commun des mortels ne voit souvent que les vestiges : une tour Eiffel à Paris, un aquarium à Lisbonne, des vidéos postées sur YouTube… Rares sont ceux qui peuvent s’envoler pour la Chine ou le Japon et voir par eux-mêmes ce que chaque pays fait de mieux sur un sujet donné. Et pourtant cette année, je fais partie de la minorité à laquelle cette possibilité est offerte. Un heureux hasard de calendrier m’amène en effet à proximité de Milan et j’ai bien l’intention de saisir cette chance pour visiter ma toute première exposition universelle.
L’occasion est d’autant plus belle que le thème central de l’exposition m’intéresse tout particulièrement : « Nourrir la planète, énergie pour la vie ». Qui produit de la nourriture ? Quel type d’aliments
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Il y a les attaques qui lui font l’effet d’une poussée d’adrénaline prenant subitement le contrôle de tout son système nerveux et puis celles, plus insidieuses, qui distillent leur poison goutte après goutte, lui saturent les tripes, noircissent ses idées et lui rendent la vie plus dure à porter. Wolfgang Master n’a pas souvenir du moment où la peur s’est immiscée dans son existence. Elle n’en a pas toujours fait partie, il en est certain, mais elle le taraude désormais depuis si longtemps qu’il ne s’étonne plus de ses intrusions sans pour autant jamais s’y habituer.
Avec le temps, Wolfgang a appris à anticiper certaines périodes de crises : il sait par exemple que les sommets mondiaux pour lutter contre le changement climatique sont des moments à hauts risques,
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Quand les déchets deviennent de l’art et les trieurs d’ordures des philosophes.
Rares sont les documentaires qui donnent de l’espoir et qui rendent heureux tout en montrant la misère et l’inégalité sociale. La réalisatrice Lucy Walker a réussi cet exploit, à moins que ce ne soient
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Pédalez ! Tous à bicyclettes pour la Révolution à Vélo 2011 ! En attendant, quelques images de la précédente édition nous remémorent ce joyeux évènement. Quatre juillet 2010...
La Vélorution est le meilleur moyen de manifester notre volonté d’exister, à nous, cyclistes, face aux armadas de véhicules motorisés et bruyants, aux 4x4 qui nous bouchent nos horizons, aux scooters
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Parce que la lutte pour la biodiversité passe par une connaissance accrue du monde qui nous entoure, balade au Muséum national d’Histoire naturelle de Paris.
Par un joli matin d’avril, voici une série de photographies prises dans le Jardin des Plantes ; ce jardin parisien est très particulier en ce qu’il est entièrement consacré à la conservation - et à la
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Dans les villes danoises, la principale artère commerçante s’appelle toujours Strøget, un mot que j’ai décidé de traduire par « avenue des promesses non-tenues ». Que cette traduction fasse hurler
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